| |
||||
 |
Gerçure 1988 - 17 min. - fiction - vidéo Umatic français avec sous-titres anglais Une jeune présentatrice télé en congé pour cause de rhume carabiné a des réminiscences durassiennes. Un journaliste français rencontre à Montréal un médecin hors du commun. L'homme de la rue se prononce. avec Isabelle Guilbault, Jacques Bureau et Vratislav Hadrava |
|||
|
présentation
Quand Isabelle Guilbault est allée présenter «Gerçure» aux Jeux de la Francophonie à Rabat en septembre 1990, elle avait attrapée le rhume à cause de la méchante climatisation de l’hôtel. Les gens dans la salle ont pensé que c’était son état naturel alors que, pourtant, c’était un rôle magnifiquement composé avec l’aide de la maquilleuse Mireille Ouellet. Rattrapage de la fiction sur la vie. 
|
 |
|||
| générique la grippée Isabelle Guilbault le prof Vratislav Hadrava le reporter Jacques Bureau la voix de la radio française Dominique Roustain (non crédité) et les figurants du métro Mont-Royal direction photo Normand Fortin musique et effets sonores Jean Corriveau prise de son Justine Pimlott caméras Gilles Lavigne Anne-Marie Monette effets spéciaux Denis Rice maquillage Mireille Ouellet assistante aux caméras et à la magnétoscopie Josée Morin assistante-réalisatrice Suzanne Méthé continuité Chantal Neveu images Super 8 et montage Jeanne Crépeau assistante montage image Anne-Marie Monette technicien montage son Richard Angers mixage Jean Corriveau graphisme Manon Briand un vidéo de Jeanne Crépeau Merci à Michel Sénécal et Suzanne Kassabgui du Dépt. des Communications de l’UQAM Louise Brodeur et Christophe Flambard de Vidéographe co-production Les films de l’autre inc. et Le Vidéographe inc. Gerçure © Jeanne Crépeau 1988 |
||||
 |
||||
 |
||||
 |
||||
 |
||||
| l'ingénieux
Normand Fortin dans le studio de Gerçure. |
||||
|
notes
J’ai commencé cette
vidéo dans le cadre de mes études
à l’Université du Québec
à Montréal, avec mes complices
Normand Fortin, Gilles Lavigne, Josée
Morin et Chantal Neveu. Poussée à
la réalisation par mes collègues
alors que j’étais très malade,
j’ai fait mon film le plus autobiographique
(sic). J’ai eu le plaisir de retrouver une
comédienne, Isabelle Guilbault, que
j’avais vue jouer dans la troupe de notre
école secondaire. Souvenirs de fou-rires
irrepressibles mais contenus pendant les prises.
Gerçure a beaucoup voyagé grâce au dynamisme joyeux de Jean Tourangeau et Luc Bourdon du Vidéographe. Je suis allée présenter le film à Berlin en février 1989. Quand le train est arrivé à la frontière de la wwwwwwww Deutsch Demokratische Republik, un officier allemand a posé dans mon passport un visa temporaire. |
||||
 |
